S’il existe une étape incontournable dans la vie d’un site WordPress, c’est bien la mise à jour du core, du thème et des plugins. Tout propriétaire de site WordPress sera confronté un jour ou un autre à la petite notification en back-office leur signifiant qu’une nouvelle mise à jour WordPress est disponible. Mais à quoi sert de mettre à jour WordPress ? Est-ce indispensable ? Quelles sont les étapes essentielles à suivre ? Quels sont les risques et comment y remédier ?
Au cours de cet article nous vous accompagnerons et vous donnerons les clés pour réaliser et réussir vous-même la mise à jour de votre installation WordPress.
1. Petit historique de WordPress
WordPress, d’un système de gestion de blog confidentiel à une valorisation de plus d’un milliard de $
L’histoire est belle. WordPress a été fondé en 2003 par Matthew Mullenweg sur la base d’un logiciel de publication de blog open-source (b2/Cafeblog) qu’il améliore et renomme.
Lancé en 2004, la première version porte le nom d’un célèbre compositeur de jazz, Miles Davis. Lui succéderont Blakey, Mingus, Strayhorn, Ellington, Fitzgerald, ou encore Baker. À ce jour, 383 mises à jour pour 5 versions majeures sont sorties des studios d’Automattic, la société-mère. Si au début de l’aventure, il n’y avait qu’une ou deux nouvelles versions par an, nous en sommes aujourd’hui à pas moins de 71 mises à jour pour la seule année 2019, tant la nécessité de faire évoluer les différentes versions vers les derniers standards est importante.
La dernière version 5, appelée Valdes, représente 70,2% des installations. Elle est suivie par la version 4, appelée Goodman, avec 27,9% des installations. La version 3, initialement appelée Monk, n’est plus employée que par 1.6% des utilisateurs WordPress.
WordPress est aujourd’hui le CMS (pour Content Management System) le plus utilisé au monde avec pas moins de 62% de parts de marché (35% des sites web du monde) représentant plus de 60 millions de sites internet à travers le monde, chiffres en augmentation tous les ans.
Les dates marquantes de WordPress depuis sa création
- 2003
- 1ère version lancée par Matt Mullenweg et ses deux compères Ryan Boren et Donncha O Caoimh
- 2004
- Lancement des plugins
- 2005
- Gestion de pages statiques et ajout des thèmes
- Éditions de textes améliorées, ajout des images
- 2007
- Nouvelle interface, vérification orthographique, sauvegarde automatique et amélioration de la sécurité
- Amélioration de la rapidité
- Ajout des tags
- 2008
- Interface re-stylisée
- Ajout des révisions, développement des outils pour les articles
- 2009
- Gestion des images améliorée
- 2010
- Création du multi-site
- 2011
- Création des Customs Posts Types
- Ajout de la barre d’administration
- 2013
- Administration responsive
- 2014
- WordPress est valorisé à plus d’un milliard de dollars.
- 2015
- Amélioration des embed sur vos pages et articles
- Acquisition du plugin WooCommerce
- 2016
- Amélioration de l’éditeur visuel, des commentaires, de la gestion des images
- 2017
- Amélioration des widgets
- Mise en avant des communautés WordPress locales
- 2018
- Mise en place de l’éditeur de page simplifié Gutenberg
- 2019
- Gestion de la santé de votre installation WordPress
- Protection contre les erreurs PHP
2. De la nécessité des mises à jour WordPress
Comme vous l’aurez certainement compris en lisant les lignes précédentes, la sortie d’une nouvelle version de WordPress est rarement anodine. Amélioration de l’expérience utilisateur, du design, augmentation de la sécurité et des capacités, debugs, chaque version apporte un petit peu plus d’améliorations et de nouveautés, ce qui permet au CMS d’être pérenne et d’asseoir sa légitimité.
Les nouveautés
De l’eau a coulé sous les ponts depuis 2003 et le lancement de WordPress. Le CMS a considérablement évolué et de nombreuses fonctionnalités sont apparues au fil du temps. Que ce soit des créations pures ou des nécessités provenant du marché, chaque mises à jour apportent son lot d’évolutions. Il s’agit généralement d’évolutions liées à l’expérience utilisateur ou des ajustements pour les développeurs.
Pour exemple, la version 5 a vu les arrivées de Gutenberg et du thème Twenty Nineteen, l’éditeur par bloc qui permet de rationaliser la construction de page et son thème associé.
L’optimisation et la correction de bugs
En parallèle, les mises à jour WordPress permettent de corriger les quelques bugs de développement présents dans les versions précédentes. Ceux-ci permettent de réduire les anomalies du core WordPress lui-même ou de réduire les soucis liés à la compatibilité entre ce core et les thèmes ou plugins.
Les mises à jour permettent également d’accroître l’efficacité du code, réduire les temps de chargement, optimiser l’affichage et ainsi proposer aux moteurs de recherche des sites internet efficaces et facilement « scrollable » par les robots.
La sécurité
Dernier point essentiel, la sécurité. Celle-ci est une des priorités des développeurs de WordPress tant le CMS est visé par les hackers. Tout comme pour Microsoft avec Windows, la position de leader sur un marché rend le produit exposé et donc vulnérable. Si l’on multiplie le nombre de sites WordPress par le nombre de données qui se trouvent sur chacun, on obtient un formidable terrain de jeu pour les hackers.
Le core WordPress se doit donc d’être irréprochable en matière de sécurité, et suivre les dernières évolutions techniques pour limiter les vulnérabilités.
La mise à jour des thèmes et plugins répond aux mêmes logiques :
– nécessité de proposer toujours plus de fonctionnalités
– proposer des outils efficaces et optimisés
– fournir des outils sécurisés et à jour.
Il faut savoir que la majorité des failles de sécurité de WordPress proviennent de plugins tiers. Si Automattic possède un « Pull » de développeurs expérimentés, ce n’est pas le cas de tous les studios de développement propriétaires de plugins. Ainsi, ceux-ci sont plus vulnérables aux attaques. Il est donc nécessaire de se renseigner avant d’installer un plugin, de réaliser une veille active et de mettre régulièrement à jour son installation.
Voyons à présent les bonnes pratiques à suivre pour mettre à jour votre installation WordPress, le ou les thème(s) que vous avez installé(s), ainsi que vos plugins.
3. Bonnes pratiques: les étapes à suivre pour la réalisation de votre mise à jour WordPress
Combien d’entre-vous se sont arrachés les cheveux lorsqu’après un clic anodin sur le bouton « mettre à jour » toute votre installation était partie aux oubliettes ? Certainement beaucoup et nous les premiers ! Il n’y a pas de prises d’expériences sans erreurs initiales. Bon, ne nous flagellons pas, disons que nous étions mal informés !
Vous pouvez bien-sûr toujours nous confier la mise à jour de votre installation WordPress, Thèmes et Plugins. Mais nous souhaitons ci-dessous, vous partager notre expérience et essayer de réduire le risque d’erreurs en vous proposant 6 étapes essentielles à suivre pour la bonne réalisation de votre mise à jour.
1. La Sauvegarde de votre installation WordPress
Avant toute chose, il est nécessaire de procéder à la sauvegarde de votre installation WordPress actuelle, c’est à dire le core WordPress, le thème ou les thèmes, les plugins que vous avez installés, mais aussi l’ensemble de vos contenus, textes, médias, menus, widgets, champs personnalisés, utilisateurs, produits, historiques de commandes, … présents dans votre base de données.
Pour ce faire, deux solutions s’offrent à vous : la sauvegarde manuelle et la sauvegarde automatique. La sauvegarde manuelle étant fastidieuse et nécessitant quelques connaissances techniques, nous allons ici nous arrêter sur la sauvegarde automatique.
Pour réaliser une sauvegarde de l’ensemble de votre installation automatiquement, nous allons passer par un plugin que nous vous conseillons les yeux fermés, à savoir UpdraftPlus.
UpdraftPlus est un plugin de sauvegarde édité par la société Simba Hosting Ltd basée au Royaume-Uni. La première version stable a été lancée en 2011 par David Anderson, le lead developer du plugin, et est à présent installé sur plus de 3 millions de sites WordPress.
La simplicité de prise en main et une version gratuite efficace, en font à nos yeux le meilleur outil de sauvegarde du marché.
1. Installation d’UpdraftPlus
Si ce n’est déjà fait, installez UpdraftPlus en suivant la procédure normale d’installation d’un plugin.
- Rendez-vous sur votre back-office puis survolez Extensions et cliquez sur Ajouter,
- Tapez UpdraftPlus dans le champ de recherche et cliquez sur Installer,
- Une fois installé, activez le plugin.
Une fois activé, UpdraftPlus est disponible à partir de 2 emplacements. Soit sur votre back-office, sous le menu Réglages, soit (le plus simple) sur votre barre des tâches en haut de votre back-office.
Avant de procéder à votre première sauvegarde, quelques petits réglages sont à réaliser.
2. Configurez l’emplacement de vos sauvegardes
Le premier est de signifier à UpdraftPlus à quel emplacement vous souhaitez sauvegarder votre installation.
Pour ce faire, rendez-vous dans UpdraftPlus plus cliquez sur Réglages. Plusieurs options s’offrent à vous : Google Drive, Dropbox, Amazon S3, … Si vous n’êtes pas à l’aise avec ces services, nous vous conseillons de garder le réglage par défaut et d’envoyer vos fichiers sur le FTP. UpdraftPlus créera un répertoire updraft dans votre dossier wp-content. Si pour une raison ou pour une autre vous avez besoin de récupérer la sauvegarde, vous n’aurez qu’à vous connecter à votre FTP.
3. Configurez le rythme des sauvegardes
La seconde est d’indiquer à UpdraftPlus le rythme de planification des sauvegardes de votre installation.
Plusieurs choix sont disponibles, de Toutes les 2 heures à Mensuellement. Ce choix est à votre discrétion. Sachez cependant que plus votre site accueille de trafic, de commandes, de nouveaux articles … , plus il est susceptible d’avoir de problèmes et plus il est nécessaire de réduire le temps entre chaque sauvegarde. Une voiture qui roule beaucoup sera certainement plus encline à avoir un accroc qu’une autre. D’où la nécessité de prendre une bonne assurance.
Nous conseillons à nos clients une sauvegarde journalière pour un site e-commerce, et une sauvegarde bi-mensuelle voire hebdomadaire pour un site vitrine.
4. Procédez à la sauvegarde de votre installation
Une fois vos réglages effectués, rendez-vous sur l’onglet Sauvegarder/Restaurer et cliquez sur Sauvegarder.
UpdraftPlus s’occupe alors de sauvegarder le core WordPress mais aussi la base de données regroupant vos textes, pages, articles, … , les Extensions, les Thèmes, vos Médias, vos Champs Personnalisés, vos Commandes, etc. Vous pouvez suivre la progression de la sauvegarde via le journal qui vous indiquera s’il y a eu des soucis pendant celle-ci. Si tout s’est correctement déroulé, un message de réussite apparait.
Attention à ne pas quitter la page pendant la sauvegarde de votre installation WordPress.
Voilà, votre première sauvegarde a été effectuée ! Vous pouvez à présent passer en toute sérénité à l’étape suivante.
2. La Mise à jour du core WordPress
Deux sortes de mises à jour sont disponibles sur WordPress: les mises à jour mineures et les mises à jour majeures. Les mises à jour mineures se font automatiquement et concernent de petites évolutions. Les mises à jour majeures quant à elles nécessitent une intervention extérieure. Pour cela :
- Rendez-vous sur votre Tableau de bord WordPress
- Accédez aux Mises à jour en survolant l’onglet « Tableau de bord » (ou Dashboard si votre installation est en anglais. ).
- Cliquez sur « Mettre à jour maintenant »
- La mise à jour se lance, vous êtes informé lorsque celle-ci est terminée.
Et voilà ! Rien de bien compliqué, la mise à jour de WordPress est à présent effectuée, vous pouvez passer à l’étape suivante à savoir Mettre à jour vos plugins.
3. Mise à jour des plugins
La mise à jour de vos plugins est du même acabit que celle du core WordPress. La principale différence peut apparaitre lorsque vous avez des Plugins payants nécessitant un renouvellement de license.
- Rendez-vous sur votre Tableau de bord WordPress
- Accédez aux Mises à jour en survolant l’onglet « Tableau de bord » (ou Dashboard si votre installation est en anglais. ).
- Sélectionnez l’ensemble de vos plugins
- Cliquez sur Mettre à jour les extensions
Si certaines mises à jour n’ont pas marché, vérifiez que vous avez accès à celles-ci. Si ce n’est pas le cas, cela veut certainement dire qu’il s’agit d’un ou de plusieurs plugins Premium. Veuillez dans ce cas, renouveler la license du/des plugins concernés.
Les plugins sont à présent à jour, passons à l’avant dernière étape, la mise à jour de votre thème.
4. Mise à jour du/des thème(s)
C’est ici que vous êtes susceptible de créer des difficultés par la suite.
Bien souvent, suite à l’achat de votre thème, vous avez effectué des modifications pour que celui-ci convienne parfaitement à votre image et à votre besoin. S’il s’agit de modifications à partir de votre back-office, dans les blocs d’éditions dédiés et donc enregistrés en base de données, il n’y a pas de problème.
En revanche, il se peut que vous, ou votre développeur ayez modifié votre thème directement sur les fichiers PHP, CSS ou JS. La bonne pratique voudrait que dans ce cas, vous ayez installé ce que l’on appelle un Child Theme. Il s’agit d’une sur-couche permettant de laisser intact le thème que vous avez acheté dans le but précis de ne pas avoir de soucis lors des mises à jour.
Parce qu’en effet, lorsque l’on met à jour un thème WordPress, on récupère une archive en provenance du créateur du thème. Celui-ci n’est pas au courant des modifications que vous avez apportées au thème (et il s’en moque un peu). Lors de cette mise à jour, WordPress va écraser les fichiers de votre thème et les remplacer par les nouveaux en provenance de l’archive à jour.
Si vous n’avez pas de Child Theme et que vous avez apporté des modifications à votre thème, vous pouvez leur dire au revoir. Heureusement, la sauvegarde est là, et votre travail ne sera pas perdu, mais quelle perte de temps… Veillez donc à ce que votre thème d’origine soit intact, et sinon, passez les modifications que vous avez apportées sur un Child Thème. Recommencez ensuite le processus par la sauvegarde.
Si tout est ok pour vous, vous pouvez passer à la mise à jour. Pour cela :
- Rendez-vous sur votre Tableau de bord WordPress
- Accédez aux Mises à jour en survolant l’onglet « Tableau de bord » (ou Dashboard si votre installation est en anglais. ).
- Sélectionnez l’ensemble de vos thèmes
- Cliquez sur Mettre à jour les thèmes
À l’instar des plugins, Il se peut que vous deviez racheter une license pour accéder à votre mise à jour.
5. Mise à jour des traductions
La mise à jour des traductions est bien souvent automatique, mais il se peut que vous ayez à la réaliser manuellement. Pour cela :
- Rendez-vous sur votre Tableau de bord WordPress
- Accédez aux Mises à jour en survolant l’onglet « Tableau de bord » (ou Dashboard si votre installation est en anglais. ).
- Cliquez sur Mettre à jour les traductions
6. Sauvegarde
Une fois que l’ensemble de vos mises à jour sont effectuées, rendez-vous sur votre site et assurez-vous que celui-ci est en ordre. Si c’est le cas, veuillez réaliser de nouveau une sauvegarde, cette fois-ci de votre installation neuve.
4. Les risques et résolutions d’une erreur dans votre mise à jour
La mise à jour d’une installation WordPress n’est pas sans risque pour votre site internet. Outre les erreurs susceptibles d’apparaitre lors de la mise à jour de votre thème et que nous avons déjà abordé, il se peut que vous rencontriez globalement deux types de problèmes : les conflits entre plugins, et une installation obsolète.
Les conflits entre plugins
Certains plugins sont parfois mal construits et peuvent entrer en conflit avec leurs congénères. Cela peut-être dû à un mauvais script, qui ferait doublon, ou qui enverrait une erreur, empêchant les scripts des autres plugins de fonctionner correctement.
Pour résoudre cette erreur, le moins « technique » est de désactiver un par un les plugins et voir si le problème disparait. Lorsque vous avez défini le plugin en erreur, essayez de la réparer ou, c’est plus sûr, changez en et optez pour un plugin plus sûr, à la meilleure note, au nombre de téléchargement plus élevé ou à la mise à jour plus récente.
La mise à jour PHP
Selon le délai entre votre précédente mise à jour et celle que vous souhaitez effectuer, il se peut que de nouvelles versions de PHP soient apparues.
Lors d’une évolution de PHP, certaines fonctionnalités peuvent apparaitre ou disparaitre. Les créateurs des thèmes ou des plugins, eux, se basent sur les dernières versions pour créer leurs outils. Ainsi, il se peut que la version PHP de votre serveur soit dans l’incapacité de lire correctement certaines fonctionnalités. Vous aurez donc des erreurs.
Pour mettre à jour votre version PHP, rendez-vous sur votre hébergeur. Les procédures sont relativement simples et se font en quelques clics.
Pour les hébergements web OVH, c’est par ici.
Attention, parfois nous ne pouvons pas revenir sur une version antérieure de PHP, ce qui peut vous poser souci lors d’une restauration de votre installation WordPress.
Retrouver une installation fiable
Malgré votre intervention et votre bonne volonté, les erreurs ne disparaissent pas. Avant de demander à un professionnel, vous pouvez restaurer votre installation comme elle était avant vos mises à jour.
Pour cela :
- Cliquez sur Updraftplus > onglet Sauvegarder / Restaurer
- Rendez-vous sur la partie Sauvegardes existantes
- Sélectionnez la Sauvegarde souhaitée
- Cliquez sur Restaurer
- Contactez-nous pour vous aider à mettre votre installation à jour
Revenir à une version antérieure
Parfois, oui cela arrive, vous avez besoin de revenir à une version antérieure de WordPress.
- Rendez-vous sur l’historique d’archives WordPress et télécharger la version que vous souhaitez.
- Dé-zippez le document et sélectionnez tous les fichiers et les dossiers, sauf le fichier wp-config.php et le dossier wp-content
- Remplacez les fichiers/dossiers à partir de votre FTP
Puis, une fois que vous avez résolu votre problème, et si vous souhaitez revenir à une version plus récente, vous n’avez qu’à suivre la procédure classique de mise à jour WordPress.
En résumé
383 versions de WordPress sont sorties depuis le tout premier lancement de WordPRess en 2003. Il est donc nécessaire de réaliser des mises à jour régulières afin de sécuriser votre site et de bénéficier des derniers outils.
Pour cela, 6 étapes sont nécessaires :
- La sauvegarde préalable de votre installation
- La mise à jour de WordPress
- La mise à jour des Plugins
- La mise à jour des Thèmes
- La mise à jour des traductions
- La sauvegarde de votre nouvelle installation
Si une erreur ou un bug apparait et qu’il est bloquant pour votre utilisation, veuillez soit désactiver un à un vos plugins, soit vérifier votre hébergement. Vous pouvez avoir également besoin de restaurer votre sauvegarde ou de contacter un professionnel.
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